Appel à communication pour le 7e congrès international francophone sur l'agression sexuelle

Source:

Institut Philippe-Pinel de Montréal et Regroupement des intervenants en matière d'agression sexuelle (RIMAS)

L'Institut Philippe-Pinel de Montréal et le Regroupement des intervenants en matière d'agression sexuelle (RIMAS) travaillent, encore cette année, à organiser un événement qui saura faire honneur à la tradition.

L'organisation du 7ième Congrès international francophone sur l'agression sexuelle 2013 avance à grand pas. Le congrès aura lieu à Québec du 15 au 17 mai 2013 et comme par les années passées il s'intéressera aux problématiques liées à l'agression sexuelle, tant du point de vue des auteurs que des victimes. Nous sommes donc heureux de vous annoncer que le formulaire « appel à communications » est maintenant disponible sur le site officiel du CIFAS2013 : www.cifas2013.ca

Vous avez jusqu'au 12 octobre 2012 pour nous faire parvenir par courriel vos propositions.

Afin de donner tout son sens à un tel congrès, il est demandé que les communications proposées au Cifas 2013 témoignent de travaux récents et originaux et en relation avec le thème du congrès.

L’appel à communication s’appuie sur l’argumentaire pour solliciter des propositions qui peuvent prendre la forme :

de communications libres (30 minutes), de recherche ou centrées sur les pratiques professionnelles (sociales, cliniques, juridiques…), qui seront réunies en sessions thématiques d’1h30 (2 communications de 30 minutes et 30 minutes de discussion) ; ces communications présentent des travaux, achevés ou en cours, concernant la thématique du congrès, centrés aussi bien sur les auteurs que sur les victimes et s’inscrivant dans différents champs disciplinaires (criminologie, sociologie, anthropologie, psychologie, psychiatrie, droit, sciences sociales, sexologie…),
d’ateliers cliniques (1h30 ou 2 x 1h30) qui présenteront, dans la perspective d’une discussion approfondie au sein de l’atelier, un corpus, un cas clinique et/ou un dispositif clinique concernant aussi bien les auteurs que les victimes,
de symposiums (1h30) autour d’une thématique définie par les auteurs (3 communications de 20 minutes et 30 minutes de discussion) ; les symposiums devront être construits à partir d’un objet clairement identifié et les communications permettre d’apporter des éclairages complémentaires sur la thématique,
d’affiches qui seront regroupées en sessions de présentation.