Bref résumé
Le Réseau d'enseignement francophone à distance du Canada (REFAD) a amorcé au printemps une réflexion sur l’évolution de la formation à distance au pays depuis les dernières décennies.

Descriptif intégral
Profil, perspectives et bilan de l’apprentissage à distance au Canada francophone

* Appel à collaboration *

Le Réseau d'enseignement francophone à distance du Canada (REFAD, www.refad.ca) a amorcé au printemps une réflexion sur l’évolution de la formation à distance au pays depuis les dernières décennies. Le projet Profil, perspectives et bilan de l’apprentissage à distance au Canada francophone, qu’il entreprend maintenant, lui permettra d’étendre et d’approfondir cette analyse, notamment en dressant le profil d’institutions pionnières et de leur développement.

Dans le cadre de cette recherche, qu’il publiera au printemps 2012, le REFAD sollicite d’autres témoignages et réflexions, par exemple, sur des questions comme :
- Quelle était la situation de l’apprentissage à distance dans votre établissement ou votre région il y a vingt ans et comment a-t-elle progressé depuis?
- Quels sont les principaux éléments de changement que vous constatez? Les constantes que vous dégagez?
- Quelles leçons peut-on tirer de cette évolution? Qu’avons-nous appris?
- Ces transformations peuvent-elles être illustrées par le développement d’un projet ou d’une organisation dont vous aimeriez traiter ou par des données dont vous disposez?
- Qu’entrevoyez-vous pour l’avenir de l’apprentissage à distance dans la francophonie canadienne?

*** Pour partager vos expériences et vos réflexions, vous pouvez soit :
- Répondre à notre questionnaire en ligne: http://bit.ly/q61Wgp

- Transmettre votre contribution à notre agente de recherche, Mme Lucie Audet: lucieaud@gmail.com
- Participer au blogue Profil, perspectives et bilan créé spécifiquement pour faciliter vos apports à ce projet: http://profilperspectivesbilan.blogspot.com/

Pour informations supplémentaires:
refad@sympatico.ca / lucieaud@gmail.com
(514) 284-9109

Ce projet est possible grâce à un financement du ministère du Patrimoine canadien.