Premier colloque de l'Association canadienne d’éducation des adultes des universités de langue française

Premier colloque de l'Association canadienne d’éducation des adultes des universités de langue française

Les universités québécoises et canadiennes développent de plus en plus de modèles et de structures en vue de répondre aux besoins de formation universitaire en matière de formation continue. L'Association canadienne d’éducation des adultes des universités de langue française organisait ce premier colloque les 29 et 30 mai derniers afin de « de dresser le bilan et comprendre l’état de situation de la formation universitaire hors des campus principaux et de réfléchir sur son développement.»

Voici quelques extraits d'un article de Jean-François Fecteau, publié dans le journal EnBeauce.com du 4 juin 2008.

Un premier colloque pancannadien en formation universitaire hors campus

Plus de 80 personnes provenant de divers milieux ont assisté les 29 et 30 mai au premier colloque de l’Association canadienne d’éducation des adultes des universités de langue française organisé en étroite collaboration avec le Centre universitaire des Appalaches. Ce premier colloque avait pour thème « La formation universitaire hors des campus principaux : bilan, enjeux et perspectives ». Le tout s’est déroulé au Centre des congrès le Georgesville.

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Pistes de réflexion
À la suite du colloque, les participants reconnaissent la nécessité des centres d’enseignement hors des campus pour rendre accessible la formation et favoriser la concertation des forces régionales. Ils recommandent fortement à l’État de revoir la structure du financement dévolu aux services universitaires dans les régions afin d’en faciliter l’accès à de petites cohortes.

Pour consolider la formation universitaire, ils ont conclu qu’une concertation entre les universités, le milieu socioéconomique et le domaine politique est recommandée. C’est pourquoi que les participants croient qu’il est nécessaire de se pencher sur un plan d’action national concerté qui démontre la nécessaire contribution de l’université et de l’économie du savoir au développement du Québec. « La contribution à la réflexion globale sur ces enjeux a été majeure puisque c’est toute la population qui bénéficiera des propositions identifiées pour améliorer l’accès à la formation, au perfectionnement et à la diversité de l’offre de formation », ajoute Mme Bouffard.


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